A la rentrée dernière, le gouvernement annonçait une baisse de la fiscalité de 3 centimes par litre de carburant consommé.
Trois mois après, ce dispositif est abandonné.
Son bilan est catastrophique: un impact faible pour les consommateurs, mais un coût important pour le budget de l’Etat.

J’appelle donc à une inflexion plus réaliste et responsable sur ce débat qui concerne tous les Français.

Je participe ce Mercredi 28 Novembre 2012 aux Rencontres Internationales sur l’Air, la Santé et le changement climatique.

La qualité de l’air revêt un enjeu de santé publique, au vue des effets négatifs sur la santé à court et à long terme avec une augmentation de la mortalité et des hospitalisations pour des maladies cardio-vasculaires.

J’interviendrai donc pour évoquer mon rapport sénatorial sur l’application du droit européen en matière d’environnement et de qualité de l’air en particulier.

Le 11 décembre, la SNCF mettra fin aux billets « idTGV » qui permettaient de prendre le TGV Est à prix raisonnable.

Après avoir exprimé par écrit mon profond désaccord à Guillaume Pépy, PDG de la SNCF, j’ai présenté hier, en Conseil municipal de Strasbourg, une motion appelant la SNCF à revenir sur la suppression des « idTGV ».

Par cette motion, adoptée à l’unanimité, les élus strasbourgeois exhortent la SNCF à proposer une politique tarifaire plus adaptée aux capacités financières des usagers.
Mais aussi une politique tarifaire tenant compte de la contribution fiscale déjà apportée par les usagers du Grand Est.

Je vous invite à découvrir mon intervention sur France Bleu Alsace en cliquant sur le lien.

Dans le cadre de l’examen au Sénat du premier budget du quinquennat de François Hollande, j’ai présenté hier soir en séance une motion de renvoi en Commission afin qu’un nouveau texte tenant compte des nouvelles orientations économiques du gouvernement soit proposé.

Je vous propose de découvrir l’article du Figaro Magazine du 16 novembre 2012 consacré à mon parcours étudiant aux Etats-Unis dans le cadre d’un dossier consacré aux études à l’étranger.

Je félicite Jean-François Copé pour son élection à la présidence de l’UMP et j’espère également que François Fillon, qui a réalisé une belle campagne, continuera de s’impliquer dans la vie de notre mouvement.

Les résultats serrés sont la preuve que la ligne politique de notre mouvement doit être équilibrée et diverse, à l’image de nos militants. C’est l’une des clés de l’unité qui, elle seule, nous permettra de répondre aux attentes des Français.

Aussi, si Jean-François Copé défend l’idée d’une « droite décomplexée », celle-ci doit aussi être une « droite ouverte ».

Le budget de la sécurité sociale, tel que le proposait le gouvernement, prévoyait une hausse des taxes sur la bière de 160% !

Une hausse massive qui mettrait en difficulté l’ensemble de la filière brassicole déjà fragile dans notre région.

Ainsi les sénateurs alsaciens se sont farouchement opposés à cette hausse disproportionnée.

J’ai rencontré ce mardi 13 novembre le maire de Strasbourg, Roland RIES, afin de lui faire part de mes propositions afin de consolider le Parlement européen à Strasbourg. Loin du consensus immobile, je souhaite que nous nous inscrivions dans un « consensus d’actions ».

J’ai présenté le rapport réalisé avec mon collègue sénateur Yvon Collin au sein de la Commission des finances au sujet de l’aide publique apportée par la France pour des projets d’infrastructures et d’urbanisme dans les pays en développement.

Dans un contexte où les pays du Maghreb ont connu d’importants bouleversements ces derniers mois, il est important que la France continue à aider ses partenaires à trouver le chemin de la croissance et de la stabilité.

La France a besoin d’une zone méditerranéenne démocratique, stable et prospère. Aider les autres, c’est aussi aider la France.