Jean-Claude Gaudin a décidé de déposer au Sénat, au nom du groupe UMP, une proposition de loi permettant le libre choix des maires concernant l’application de la réforme des rythmes scolaires dans l’enseignement du premier degré. Ce texte rejoint la proposition de loi déposée par Xavier Bertrand à l’Assemblée Nationale le 23 octobre dernier.
Je soutiens cette initiative qui permettra, enfin, d’ouvrir un débat sur cette réforme. Elle se situe dans la droite ligne de l’opposition constructive que nous souhaitons mener pour répondre aux difficultés quotidiennes des Français.
J’ai pris connaissance avec intérêt de la présentation des conclusions, attendues depuis plusieurs mois, des inspecteurs généraux du Conseil général de l’environnement et du développement durable au sujet du GCO.
Je salue leur courage, leur indépendance, leur sens du compromis et leur pragmatisme, alors que le Gouvernement, la municipalité dirigée par Roland RIES et la communauté urbaine présidée par Jacques BIGOT avaient fait le choix irresponsable d’un abandon du GCO en 2012 sans solution alternative pour la santé des Strasbourgeois et la vitalité de notre tissu économique et de nos entreprises.
Le 21 mars dernier Roland Ries annonçait que Strasbourg n’appliquerai la réforme des rythmes scolaires qu’à la rentrée de
l’année scolaire 2014/2015. Cette décision avait été rendue inéluctable par plusieurs mois d’absence d’un véritable travail
d’écoute et de concertation en amont et par une sorte d’appréhension face au mécontentement de nos concitoyens sur
les contours que prenait la réforme.
L’Organisation Mondiale de la Santé – OMS a classé aujourd’hui la
pollution de l’air extérieur comme cancérigène suite aux travaux du
Centre International de Recherche sur le Cancer, organe de l’OMS.
L’exposition à la pollution de l’air extérieur augmenterait les risques de
développer un cancer des poumons ou un cancer de la vessie.
« Rendre la ville aux piétons », colloque organisé aujourd’hui par la municipalité, est
promu depuis plusieurs jours à travers notre ville. Nous nous étonnons d’un tel sujet à
l’heure où les tensions n’ont jamais été aussi vives entre les usagers des
différents moyens de transports, notamment les cycliste et les piétons, et où le souci
premier de la municipalité devrait être de les réconcilier.